Senin, 10 Februari 2014

oïde. Physiopathologie

e connaissances et d'outils (tels les schémas, les graphes)15.
La sixième partie sur « les mutations du débat contemporain. Mal identitaire, mal sournois » revient sur sur la tyrannie de la minceur et l'épidémie mondiale qu'est devenue l'obésité qui touche désormais essentiellement les classes populaires, jugées non plus de trop se nourrir mais incapables de bien se nourrir, l'obèse étant perçu comme une menace pour la société (« taxe obésité » dans les avions, surcoût dans les budgets de la santé, frein à la productivité, etc.)11.
Phénotypes[modifier | modifier le code]

4 types d'obésité sont décrits :
le type I : le surplus de graisse est réparti au niveau du corps sans localisation préférentielle ;
le type II : l'excès de graisse est concentré au niveau du tronc et de l'abdomen : il est question d'obésité androïde ;
le type III : l'accumulation de graisse se fait dans l'abdomen : il est question d'obésité viscérale ;
le type IV : la graisse se localise au niveau des hanches et des cuisses (niveau glutéofémoral) : c'est une obésité gynoïde.
Physiopathologie[modifier | modifier le code]

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L'obésité est associée à une inflammation systémique chronique subaigüe : il a en effet été constaté que dans l'organisme des personnes obèses circulent continuellement des médiateurs de l'inflammation tels que le TNF-alpha et l'interleukine-6 et que leurs concentrations se normalisent avec la perte de poids. Il est reconnu que les tissus adipeux hypertrophiés sont une source de ces médiateurs et que ceux-ci, en retour, entravent la lipolyse et la perte de poids16.
Une autre source récemment mise en évidence est l'intestin grêle, qui entre dans un état inflammatoire lorsqu'il est exposé à une alimentation à haute teneur en gras ; cette transformation pourrait précéder l'apparition de l'obésité, selon de récents résultats17. Il y a un excès de bactéries du phylum des Bacteroidetes et trop peu du phylum des Firmicutes dans le colon des personnes obèses18. La consommation de fortes doses de lipides cause, au moins chez les animaux, une diminution marquée de plusieurs familles de bactéries du côlon, dont les Bactéroides et les bifidobactéries. La baisse de bifidobactéries est, à son tour, corrélée avec l'inflammation et l'endotoxémie19.
L'inflammation systémique contribuerait en gra
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